Parmi tous les facteurs qui nuisent à la rentabilité des entreprises québécoises, garder trop longtemps à son emploi des employés qui affichent une attitude négative, se retrouve au sommet de la liste des pire erreurs commises par les dirigeants d’entreprises, d’après un sondage effectué par l’École d’entrepreneurship de Beauce (EEB).
Mais lorsque nous y réfléchissons bien, ce n’est pas vraiment étonnant. Les employés sont en quelque sorte, la matière première, indispensable à toute entreprise. Ce sont eux, qui par leurs actions journalières, influencent grandement le niveau de profitabilité de l’entreprise. Il devient donc ardu de s’en départir après un certain temps, surtout lorsque nous avons investi de fortes sommes dans leur formation, et qu’ils connaissent par cœur nos processus de production.
Par contre, ce que nous oublions de mettre dans la balance, est que l’ensemble de leurs actions, favorables ou défavorables à l’entreprise, sont dirigées par leurs émotions, et que ce sont ces émotions, qui une fois bien maîtrisées, peuvent leur garantir d’effectuer leur travail dans la joie et l’harmonie.
Ce qui est paradoxal, est que beaucoup de personnes croient qu’il n’y a pas de place pour les émotions en affaires. C’est difficile à croire. Je ne connais aucun entrepreneur qui a réussi, sans avoir mis beaucoup de temps et d’énergie dans la tâche, mais surtout, beaucoup d’amour et de passion dans ce qu’il bâtissait!
Même en ventes et en marketing, c’est bien connu que ce sont les émotions qui font vendre. Alors comment pensons-nous arriver à générer des émotions positives de la part des clients qui achèteront nos produits, si de notre côté, nous n’avons pas d’émotions positives lorsque nous les fabriquons? Cela peut paraître d’une évidence triviale pour certains, mais dans le cas des dirigeants qui s’obligent à garder des employés qui font subir leurs émotions négatives, ce rapport de cause à effet semble négligeable.
« Il est difficile de mettre à la porte quelqu'un qui montre une mauvaise attitude », reconnaît Nathaly Riverin, directrice générale de l'EEB. « Les employeurs s'attachent à leurs salariés. Ils sont souvent trop bons avec eux. Un employeur va vouloir accorder toutes les chances à un employé qui ne démontre pas une bonne attitude, parce qu'il le trouve compétent. C'est comme si l'attitude au travail n'était pas un critère important. Or, on n'a pas idée des dommages qu'un tel comportement peut causer au sein d'une organisation. »
Elle fait même remarquer que parmi les 10 pires erreurs identifiées par les chefs d'entreprise lors du sondage de l’EEB, près de la moitié sont en lien avec la gestion des ressources humaines, et donc par ricochet, avec la gestion des émotions humaines ! C’est dire à quel point il est temps de s’attarder sur l’impact des émotions en entreprise, et c’est ce que cet atelier corporatif fait avec brio.
Nos employés ne sont pas des robots !
S’il y a un phénomène dont nous ne pouvons plus nier l’ampleur au cours des dernières années, c’est bien la présence grandissante des robots et de l’intelligence artificielle dans les entreprises. Les robots, au contraire des êtres humains, ne font pas d’erreurs, ne sont pas fatigués, exécutent leurs tâches sans critiquer, sont constants, et ne demandent jamais d’augmentation de salaires! Alors pourquoi continuer à engager des employés ?
Parce qu’ils réfléchissent !
Au contraire des robots qui ne font que répéter ce qu’on les a programmé à faire, la réflexion nous permet de bien conscientiser nos émotions, nous permettant de nous adapter plus rapidement aux nouvelles situations, de prendre un meilleur recul pour trouver des solutions, d’être plus autonomes et motivés, mais surtout, de travailler en équipe. Mais là où ça coince, est que notre réflexion est dépendante de nos émotions…
Lorsque nous ne conscientisons pas nos émotions négatives, elles bloquent notre réflexion.
Nous aurons donc l’effet inverse: nos émotions négatives non conscientisées nous empêcherons de nous adapter, de prendre du recul, et de trouver des solutions, mais surtout, nous les transférerons à notre clientèle, en amoindrissant leur expérience d’achat.
C’est pour cela que l’industrie de la robotique prend autant d’ampleur en entreprise, car des employés qui ne réfléchissent pas deviennent un peu comme des robots, le haut niveau d’efficacité en moins…
Il est donc impératif de connaître et de comprendre en profondeur le mécanisme de nos émotions, ainsi que leur impact sur notre réflexion, pour garantir aux dirigeants d’avoir davantage de pouvoir sur ce qu’ils vivent, et c’est exactement la raison d’être de cet atelier corporatif.
Nous sommes des êtres humains, bien avant d’être des dirigeants.
Ce qui est dommage avec tout ce brouhaha d’émotions non conscientisées de la part des employés, est qu’il retombe directement sur les épaules des dirigeants. En fait, la plus grande problématique des cadres d’entreprise peut s’énoncer ainsi :
Les dirigeants ne sont pas responsables des émotions non conscientisées de leurs employés, mais ils deviennent responsables des répercussions négatives que ses émotions non conscientisées ont sur leur productivité, et sur la clientèle.
Laissez-moi vous dire que peu de personnes veulent être dans la peau de quelqu’un, qui est responsable des conséquences négatives, de ce dont il n’est pas du tout responsable au point de départ… Heureusement, cette connaissance de l’impact négatif qu’ont les émotions non conscientisées au travail, nous donne les correctifs nécessaires à appliquer, pour que tout cela change pour le mieux!
Mais ce n’est pas tout. Il y a aussi une autre complication qui vient brouiller encore davantage les cartes de cette regrettable réalité corporative :
La plupart du temps, les émotions non conscientisées des employés ne proviennent même pas de leur travail, mais de la maison, par leur incapacité à faire la coupure entre ce qui se passe dans leur vie personnelle, et ce qui se passe au travail.
À chaque fois que nous arrivons au travail, il devrait y avoir une épaisse ligne jaune sur le sol qui nous rappelle que si quelque chose ne va pas bien à la maison, cela n’a pas rapport au travail, et de ce fait, est loin d’être un prétexte pour diminuer nos performances. La même chose s’applique lorsque nous retournons à la maison, et que nous sommes portés à faire vivre à nos proches les situations désagréables que nous avons vécu au travail.
Une chose est sûre, nous ne pourrons jamais faire de coupure entre la maison et le travail, tant et aussi longtemps que nous ne serons pas à jour avec nos émotions. En refusant de les conscientiser, nous allons à coup sûr transférer à nos confrères de travail ce mal-être qui nous habite, et dont nous n’avons pas conscience, car personne ne veut être malheureux seul.
Ou au contraire, nous accepterons de subir ce mal-être qui ne nous appartient pas, en étant incapable de faire la part des choses, et en croyant que nous le méritons… Dans les deux cas, cela brimera l’esprit d’équipe, et fera grimper les tensions et la rancœur entre les employés, faisant des dirigeants, non plus des cadres professionnel responsables de la rentabilité, mais des papas ou des mamans qui doivent trancher les conflits de leurs enfants, pour s’assurer qu’ils s’accordent!
Heureusement, sur ce plan, les dirigeants d’entreprise sont d’abord et avant tout des êtres humains, qui connaissent l’impact que peut avoir les hauts et les bas de leur vie de couple et familiale sur leur travail. Leur position d’autorité, combinée à une bienveillante empathie, les place en position d’être des guides, pour cerner les émotions, et réussir à en tirer le meilleur parti, une fois qu’ils seront comment faire, ce qui est le but ultime de cet atelier corporatif.
C’est un fait connu, les meilleurs dirigeants sont ceux qui donnent l’exemple. Un dirigeant qui est facilement irritable, ou manque de neutralité, ou qui a des partis-pris et prend des décisions sur des coups de tête, en ne reconnaissant pas l’impact de ses émotions non conscientisées, donne bien malgré lui, un piètre exemple à suivre.
Pour utiliser une analogie simple: le corps agit, selon ce que la tête veut. De la même manière, l’entreprise ira dans la direction des décisions et des humeurs de ses dirigeants, entrainant avec eux leurs employés.
Un dirigeant qui connaît ses émotions, et qui réalise toute l’importance de leur impact sur sa capacité à réfléchir, est un dirigeant hors pair. Il aura une grande facilité à encadrer ses employés, en les observant, en les écoutant, et en les guidant avec des règles strictes dont il assurera le suivi, pour rendre leur travail sécurisant et valorisant.
Nos émotions : gage de bonheur.
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui fait que les employés d’une entreprise ont un esprit d’équipe à toute épreuve, qui les fait tous aller dans la même direction, pour être fiers de permettre à l’entreprise de générer de confortables profits ?
L’ouverture d’esprit de ses dirigeants, et l’importance qu’ils accordent au capital humain.
Comme le dit si bien Lucie Demers, présidente de Mieux-être avec soi, et celle qui est au centre des incroyables avancées de cette formation : « Un être humain peut faire de l’argent, mais de l’argent ne fera jamais d’êtres humains. », et c’est ce principe moteur qu’elle a appliquée tout au long de sa longue carrière de gestionnaire et de directrice, au sein d’une multitude d’entreprises québécoises de renom.
« J’ai eu le désir de créer cette formation voilà plusieurs années, pour partager ma vision unique des connaissances que j’ai dû acquérir pour exceller, et qui m’ont permis de mieux gérer le bien-être des employés dont j’avais la responsabilité, et qui étaient aux prises avec des défis personnels de taille. ».
Elle rajoute « Ce rêve est devenu réalité. Je suis fier d’avoir enfin pu construire une formation simple, mais tellement profonde, sur nos émotions, car ce sont nos émotions qui déterminent tous les comportements que nous adoptons, pas seulement au travail, mais dans notre vie de tous les jours. ».
Pour Lucie, nos émotions sont un peu comme le charbon qui alimentait en énergie les locomotives à vapeur du siècle dernier, ou l’essence de nos voitures, ou l’électricité de nos usines. « Sans elles, nous serions de simples objets, sans aucun but dans la vie et sans le moindre désir de devenir meilleur. Elles sont notre meilleur gage de succès, si nous en faisons nos alliées. Les comprendre est le plus cadeau que nous pouvons nous faire. »
Complètement à l’opposé, se trouvait Faustin Bouchard, son partenaire de recherche et conjoint depuis 29 ans, avec qui elle a étroitement collaboré pour donner vie à cette formation. « J’ai longtemps cru que je n’avais pas d’émotions », confie-t-il avec un petit sourire en coin. « Je vous avoue que ce ne fut pas un grand succès ! J’étais entêté, colérique et désagréable, mais je ne vivais pas d’émotions… C’était un peu comme dire : j’ai des plumes, j’ai un bec et je vole, mais je ne suis pas un oiseau. »!
« Laissez-moi vous dire que cet oiseau n’a pas fait long feu quand j’ai rencontré Lucie, et que nous avons commencé à parler des émotions. Ce qui était de l’acquis pour elle depuis des années, était complètement de l’inconnu pour moi. Personne ne m’avait jamais parlé des émotions auparavant, alors rien d’étonnant à ce que je ne voulais rien savoir de les ressentir… Je croyais qu’elles me rendaient faible, mais c’était tout le contraire. ».
Avec des comportements aussi opposés, les deux partenaires n’ont pas eu d’autres choix que de trouver l’équilibre. « J’ai été, en quelque sorte, le premier cobaye de cette formation. Ça a merveilleusement bien fonctionné pour moi. Maîtriser mes émotions m’a énormément aidé à prendre mes responsabilités, ce que j’avais énormément de difficulté à faire, au contraire de Lucie qui prenait déjà beaucoup de responsabilités, mais dont les émotions lui donnaient de la difficulté à se respecter. »
Lucie renchéri: « La plupart des dirigeants qui, comme moi, n’ont pas peur de prendre des responsabilités, se retrouvent bien malgré eux, dans une sorte de spirale de stress qui les mènent directement aux burn-outs et aux dépressions. »
« Chacun a ses limites. Certains ne voient pas le besoin de se respecter, car ils croient que les autres les respecteront s’ils prennent leurs responsabilités, tandis que d’autres ne voient pas le besoin de prendre leurs responsabilités, car ils font tout pour que les autres les prennent. Et tout cela parce que nous ne conscientisons pas les émotions sous-jacentes qui nous font agir ainsi! »
Les responsabilités que nous prenons doivent toujours être contrebalancées
par le respect que nous nous montrons.
« J’avais de la difficulté à me mettre des limites. », avoue Lucie. « Et moins j’en mettais, plus les autres se croyaient tout permis! Prendre nos responsabilités est une bonne chose, mais le faire sans se méfier de nos émotions qui nous convainquent qu’en faire trop est correct, est un piège qui tourne rapidement au surmenage… Les jours où les responsabilités des autres étaient plus importantes que moi, je revivais toujours les mêmes tourments. Le jour où j’ai accepté de voir où mes émotions me menaient, et que je me suis respecté, tout a changé! ».
À présent que nous réalisons à quel point les dirigeants d’entreprise sont bombardés d’émotions négatives non conscientisées à longueur de journée, et avec lesquelles ils doivent jongler pour arriver à atteindre leurs objectifs de performance, cela nous fait voir à quel point un atelier qui démystifie nos émotions, et qui les rendent faciles à gérer, est vital à la santé financière de n’importe quelle entreprise.
L’impact de nos émotions en entreprise est cet atelier ultime que vous recherchez. Son unicité vous assure que toutes les connaissances qu’elle contient n’existent nulle part ailleurs.
À propos des créateurs de la formation
Lucie Demers est une gestionnaire de pointe qui a travaillé dans le domaine de la restauration rapide la plus grande partie de sa carrière. Des restaurants Subway, où elle s’est vu remettre de nombreuses distinctions de performance, à Couche-Tard, où elle a remporté une multitude de voyages annuels grâce à ses résultats financiers hors du commun, jusqu’à Tim Hortons, où elle dirige d’une main de fer plusieurs franchises, son engagement dans la saine gestion du capital humain, pour maximiser le retour sur l’investissement, la démarque depuis toutes ces années, même si son humilité naturelle ne lui accorde pas toujours le crédit auquel elle aurait droit. Elle a également évolué dans le domaine de la comptabilité, au service de différentes banques et de firmes d’experts-comptables.
Faustin Bouchard est diplômé de l’université de Montréal, du Collège CDI et du Collège Lasalle, où il a perfectionné son don pour l’analyse structurelle en résolution de problèmes, en utilisant une approche empirique reposant sur l’observation, le dénombrement et la classification des comportements humains. On fait appel à son expertise, entre autres, pour l’organisation de nouveaux départements, la rédaction de marches à suivre, et la mise en œuvre de processus créatifs. Il est également écrivain. Ses divers écrits sur Quora, qui démystifient et humanisent le monde stéréotypé de la perversion narcissique, lui ont valu plus d’un demi-million de vues en un peu plus de trois mois.
Les avantages de cet atelier corporatif
Unique et avant-gardiste, du début à la fin
Notre plus grand avantage en tant que formateurs, est que nous ne pouvons pas être mis dans la même boite que les agences de formation classiques. Mais n’est-ce pas justement le but de toute entreprise qui veut se démarquer et accroître son domaine d’expertise, de penser en dehors de la boite? Nos concepts sont tellement novateurs et simples, mais si profonds à la fois, qu’ils répondent aux besoins des dirigeants soucieux d’avoir une nouvelle approche plus humaine de la gestion du potentiel de leurs employés.
Car beaucoup trop de dirigeants sortent déçus de formations que leur entreprise les avait invités à suivre. L’apprentissage y est toujours intéressant, mais il n’est souvent pas bien ciblé à leurs réalités opérationnelles. Soyez assuré que nous ne concevons aucun atelier, ou aucune formation, si nous ne sommes pas assurés à 100% qu’elles jetteront un regard neuf sur la résolution des problèmes en entreprise.
Universel
Les émotions sont universelles et s’adressent à tous. Ce sont elles qui peuvent nous propulser vers les hauts sommets du succès, si nous en faisons des alliées, ou qui peuvent nous restreindre aux supplices de la médiocrité, si nous refusons de les conscientiser et de reconnaître qu’elles sont ce qui nous rend humains.
Le plus intéressant est que même si nous sommes tous différents, notre réaction face à nos émotions est toujours la même. C’est pour cela que le langage et les mots utilisés dans cette formation sont simples, et résonneront fortement dans le vécu de chaque dirigeant. Son contenu améliorera votre vie, et transformera votre vision du monde à jamais.
Franc et puissant
Avant même de gérer quoi que ce soit, l’idéal est d’apprendre à gérer nos émotions. De toute manière, un jour ou l’autre, il va falloir que nous le fassions, car elles déterminent tous les comportements que nous adopterons lorsque nous rencontrons des problèmes, ou que nous vivons des situations désagréables. Ignorer nos émotions ne fait que recréer les mêmes problèmes, nous fait perdre du temps, et nous fait rater de belles opportunités.
Alors lorsque à chaque fois que nous sommes en retard, frustrés, impatients, paralysés, ou inefficaces, ce n’est pas parce que nous sommes distraits ou fatigués, ou n’importe quelle autre raison que nous pourrons trouver. C’est uniquement parce que nous faisons une gestion inadéquate de nos émotions non conscientisées.
Le plus beau dans tout cela, est que cette formation en ligne ne vous rapportera pas uniquement dans votre travail, elle vous rapportera également en tant que conjoint, en tant que parent, et en tant qu’individu ! Nous sommes des êtres humains, partout.
Concis et droit au but
Nous n’avons pas de temps à perdre, et vous non plus. Nous savons que l’emploi du temps des dirigeants d’entreprise est chargé, que leur journée sont longues, et que leur esprit est constamment appelé à trouver de nouvelles manières d’être plus efficaces et plus productifs. Ils n’ont pas besoin d’une surcharge d’informations inutiles, sans intérêt pratique.
Cette formation en ligne répondra à leur besoin à merveille; des informations schématisées, logiquement classifiées, clairement et rapidement expliquées. Une feuille récapitulative finale, qui ne laisse rien d’équivoque, et qui leur facilitera la tâche pour le reste de leur vie. Nous ne tournons pas autour du pot. Nous vous enseignons, de la même manière que nous aimerions être enseignés.
Proactif
Qui a-t-il de pire que de ne pas savoir ce qui nous pend au bout du nez, et qui risque de nous exploser à la figure, lorsque nous nous en attendons le moins ?
Si nous connaissons d’où proviennent nos problèmes, nos conflits et nos situations désagréables, et qu’en plus, nous savons exactement ce qui les déclenche nous n’aurons plus besoin de les vivre, et de les revivre, car nous comprendrons du premier coup ce que nous devons faire pour les éviter.
Cet atelier corporatif s’attaque à la source des problèmes. Ses trois buts majeurs sont: maximiser l’impact des connaissances qu’elle referme, donner une plus grande tranquillité d’esprit aux dirigeants, et favoriser le retour sur l’investissement.
Pour en savoir davantage
Pour connaître tous les avantages de faire affaire avec les formateurs de Mieux-être avec soi, n'hésitez pas à aller sur notre page de contact en cliquant l'icône ci-joint, ou communiquez directement avec madame Stéphanie Côté, responsable des relations humaines, au 514-838-0661.
